Sandra Jurado – 22 ans, Myocardite après injection Pfizer
Article de Marta Ordóñez 29 août 2021 Source: www.diaridesabadell.com
"Les médecins ne peuvent que l'attribuer au vaccin ARNm Covid."
"J'étais à Blanes avec mes amis, en vacances. J'avais été vacciné avec une dose de Pfizer trois semaines plus tôt pour pouvoir voyager aux États-Unis. Et comme le Covid était déjà passé, ils ne voulaient m'en administrer qu'un seul. Tout s'est passé de temps en temps. J'ai remarqué de la tachycardie et des palpitations, des vertiges. Puis j'ai été inconsciente pendant un moment. Mes amis ont appelé l'ambulance. En moins de 10 minutes, j'ai été hositalisée".
"On m'a emmené à l'hôpital de Blanes. Quand ils ont réalisé que mon cœur ne défaillait, ils m'ont emmené à l'hôpital de Gérone et m'ont posé un pacemaker. Finalement, je suis arrivé au parc Taulí. J'ai passé quelques jours aux soins intensifs, en semi-critique et sur le sol."
"J'ai passé tous les tests nécessaires pour en détecter la cause. Ils excluent que ce soit une maladie auto-immune et toutes les autres possibilités. Il ne reste qu'une chose : les médecins ne peuvent l'attribuer qu'au vaccin. Bien que je ne sache pas si c'est le cas."
D'après le post Instagram de Sandra :
" Je me souviendrai toujours de ce mois d'août comme de l'été qui a changé ma vie. Après 31 jours, je laisse derrière moi l'hôpital et beaucoup d'autres choses qui y restent. Je pars avec plus d'envie de vivre que jamais, et avec un pacemaker. Le vaccin contre le covid a provoqué une myocardite qui a affecté la conduction électrique de mon cœur. Bien que mon état se soit amélioré au fil des jours, pas assez pour mener une vie normale.
Je ne peux que remercier, surtout ma mère, d'avoir été mon pilier fondamental, ma toile de larmes, mon échappatoire et ma joie infinie, merci de ne pas m'avoir laissé jeter l'éponge une seule seconde. Merci à mon père et à mon frère, d'avoir été là, au pied du canyon, même sans pouvoir me voir. A ma famille, oncles, cousins, grands-parents... pour m'avoir couvert à distance. A mes amis, qui m'ont montré une fois de plus qu'ils sont toujours dans le bon, mais encore plus dans le mauvais.
Et enfin, aux agents de santé qui ont rendu tout cela possible, j'ai vu sur leurs visages le désir de me sauver quand tout allait mal et leurs visages de joie à chaque guérison.
Maintenant on peut dire que j'ai deux anniversaires, la vie m'a donné une autre opportunité et je n'ai pas l'intention de la manquer."
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www.diaridesabadell.com